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 Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.

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Yume Kuroi
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Yume Kuroi

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MessageSujet: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeMar 22 Mai - 1:55

Après un institut explosé, j’avais pas la tête à ramasser les gens de Undai, une fois que tu tues et que tu tues et que tu vois des gens mourir, mourir et encore mourir devant tes yeux par tes coups, t’en es lasse, oui, vraiment, t’en as presque marre de tuer. Et moi c’était le sentiment que j’avais, parce que j’en avais fait assez dans cette putain d’école dont Ayame nous avait demandé de nous occuper avec les membres du conseil, je dois pas vous dire qu’on a réussit, parce que c’était tellement logique que voilà. Je devrais arrêter de me plaindre aussi, parce que on faisait vraiment « une activité » de club, genre l’élite est utile, elle vient de raser de la carte une école et ses habitants, Haha.

Donc maintenant que je suis de retour, humeur massacrante et l’impression d’avoir toujours cette odeur de sang sur le corps, je n’arrête pas de me laver, de manger et de dormir. Depuis que je suis à Undai après la quête, je n’ai même pas pris la peine d’aller une seule fois voir le conseil et je suis sûre que les autres membres à part Kiyo sont dans le même état que moi : en mode j’en ai marre, je veux dormir. Parce que bien qu’on n’y soit pas resté longtemps, on y est resté quand même et que vous ne vous imaginez même pas comment ca faisait du bien de rentrer à Undai après avoir visité tel trou à rats.

Alors ce matin ou plutôt ce midi après m’être accordée une grasse matinée digne de ce nom, je traînais mes pas vers la salle du conseil des étudiants, sandwich en bouche et mauvaise humeur au cul. C’est en arrivant dans la salle que je crus mourir en voyant la tonne de papiers que j’avais laissé derrière moi et que mes crétins de membres n’avaient pas pris soin de faire, genre on laisse tout à la présidente ? Et mon poing dans ta gueule, tu le veux ?

Donc maintenant, j’ai une centaine de dossiers à lire, une pile, non, trois piles de feuilles du sol au plafond à compléter et quoi d’autre ? Mon cellulaire sonne, je réponds, une voix me suppliant de venir dans son bureau en apportant le café, réaction de ma part, je raccroche et commence à travailler. Ignorance totale. Et puis, et bah et puis y a la porte qui s’est ouverte, y a mes feuilles qui ont volées, et j’ai pété un câble. Ca veut dire, que la personne qui est arrivée en trombe -sans toquer- a fait voler mes putains de papiers, putain de papiers qui ont volés par la fenêtre, putain de papiers que je venais de, putain finir ! D’un mouvement doux que je pouvais être, pas du tout, donc mouvement rapide et en moins de cinq secondes, j’attrapais l’intrus par la gorge avant de planter mon regard en colère dans ses pupilles oranges. Comprenant que j’agressais un prof, je lâchais celui-ci en jurant sans bruit. J’attendis que le mec reprenne son souffle pour connaître la raison de sa visite :

- Elles ! Ces gosses me font chier ! L’autre là avec sa gueule de gangster tape sur ses camarades et puis la victime … bah y a une plainte.

Quoi ? J’avais pas saisi ce que me voulait le mec et quand je dis pas saisis c’est pas du tout compris. C’est en voyant derrière lui deux élèves que je levais un sourcil, incrédule de voir mon élève personnel et une autre fille que je n’avais jamais eu le plaisir de rencontrer, seul son dossier avait été lu par ma part mais cela remontait à assez loin pour que je ne me souvienne que de son prénom. D’un mouvement de la tête, j’attendis plus ample infirmation du professeur, infirmation que je reçus sans plus tarder. Une fois les faits dits et décrits par le prof, il nous laissa, j’invitais les deux élèves à prendre place sur une des chaises se trouvant devant mon bureau. Essayant de trouver une place dessus où papiers ne rimaient pas avec travail, je me déposais dessus, les jambes tendues, les fesses sur le rebord, mon regard froid croisant les pupilles des deux filles et pour finalement, laisser ma voix froide et sans retour s’élever :

- Expliquez moi. Vous avez cinq minutes sinon je vous décapite. Un, deux, trois, …

Continuant mon décompte, j’attendis qu’une d’entre elles me réponde.
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Miharu Yamamura

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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeMar 22 Mai - 3:18

troisième journée de cours. Tranquille, aujourd'hui Aria commence plus tard je la laisse donc dormir es essayant d'être la plus discrète possible. Aujourd'hui première heure: un cours ou celui qui le veut viens (qu'importe la classe tant qu'on y vas).
Je m'y rend comme la pauvre élève perdu que je suis.
Je m'assoie en haut de l'amphithéâtre. j'ai encore un peu sommeil. Je ne me suis pas encore adapté au horaire du Japon.
Je sort une feuille, sait-on jamais que l'on doit noté quelque chose.
Mon téléphone vibre. Qui peut bien m'appeler à une heure pareil?
Je sort dans le couloir pour répondre( question de principe), quand soudain je me retrouve sur l'estrade de l’amphithéâtre, le menton en feu, et du sang qui tache beaucoup trop mon uniforme.

En face à la porte une fille au cheveux noir ce tiens, l'air menacent. Je me relève tant bien que mal, en toussant du sang. Cette sal*** ne ma pas louper. Puis il lui à pris quoi. Je la connais même pas!! Elle descend, et tout le monde la laisse passer. Le prof ce mets entre elle est moi. Pas de chance monsieur, lui aussi il vola. Et hop, un professeur et un professeur qui vole. On ce retrouve en face. J'ai mal, tu me diras vue le vol plané que j'ai fait...

je veut lui demander le pourquoi de son geste mais ce n'ai que du sang qui sort de ma bouche...
Elle n'a plus l'air de vouloir me frapper bonne choses mais pas sur que ce soit rassurant (en tout cas pour elle-moi je me méfie quand même)
Le prof ce ramène, dans tout ces états. Je crois qu'il nous engueule, Moi plus que elle, genre c'est de ma faute...
Et puis d'un seul coup il se tait, il vient de remarquer le sang qui s'écoule lentement sur tout mon visage. La première question qu'il me posa est franchement un peu tordu:
-Tu veux porté plainte?
Moi dans ma tête:-Je pense que l'infirmerie serait plus adéquate.
Ce que les deux on du comprendre: Oui bien sur c'est la meilleur chose à faire.

Du coup nous voila tous en route pour le bureau de la direction. Celle qui m'avait attaqué me passa un mouchoirs pour que j’essuie le sang sur mon visage, charmante réaction voir un peu déplacé.

Nous voila devant la porte, le prof l'ouvre sans toquer, ce qui lui valus d'être pris à a gorge. Remarque il a encore faillit faire un vole planer. La personne en face de lui le toisa de haut en bas:il représentait un intrus potentiellement détruisable. Enfin elle le reposa et après avoir repris son souffle:

- Elles ! Ces gosses me font chier ! L’autre là avec sa gueule de gangster tape sur ses camarades et puis la victime … bah y a une plainte.

Ils discutèrent trois/quatre minutes puis il partit nous jetant un regard noir.
On le regarda partir, puis notre regard ce reposa sur la fille au cheveux noir et au couette de la Direction:

- Expliquez moi. Vous avez cinq minutes sinon je vous décapite. Un, deux, trois, …

Je la regardais sachant très bien que je pouvais pas forcément dire quelque chose. J'aurais du garder le sang sur la bouche...
Je me retourne vers ma camarade bizarre, qui à l'aire dans un plus mauvais état que moi.

Bon ce n'ai pas grave je me lance dit si là que ma machoir à réussi à ce remettre assez en place pour pouvoir sortir quelque mots coérant.

-Je...veut allé...à... l'in..fir..merie. S'il...Vous..plaît.
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeMar 22 Mai - 17:50

-KURAYAMI, SORS DE MON COURS ET QUE JE NE TE VOIS PLUS VENIR ICI !

C'est sur ce hurlement des plus gentils que je m’éclipsais de la salle du cours de mathématiques. Mais pas n'importe comment, j'avais ma robe de combat sur moi et, dans un dernier beau geste de violence de la journée, j’éclatais la table sur laquelle je pris résidences ce matin. Ensuite, comme pour affirmer mes intentions peu amicales, je souris et sortis de la pièce presque en courant, poursuivie par des serpents matérialisés par le professeur. C'est ainsi que je me retrouvais dans le couloir, tête d'énervée de la vie, robe de combat prête à frapper sur tout ce qui bougeait. Comment et pourquoi, j'étais dehors au lieu de faire des calculs et résoudre des problèmes de toute sorte ?

Eh bien, remontons à ce matin, pour une des rares fois que je dormais dans ma chambre, je me suis levée en retard... Mais genre vraiment en retard car je n'ai pas entendu mon réveil sonner et que, la plaisante demoiselle qui devait se trouver dans la même chambre que moi, n'eut pas l’amabilité de me réveiller. Seul résultat ? Mauvaise humeur, et... mauvaise humeur. Et qui dit envie de meurtres et mode endormie, dis aussi que je me suis habillée comme j'avais envie, omettant avec le plus grand soin de mettre l'uniforme obligatoire de Undai, le remplaçant par un top gris cachée sous un pull à capuche noir. Réflexe de la capuche ? La mettre sur la tête, prendre son sac préparé la veille et courir à son cours se trouvant à l'autre bout de la structure de Undai. Donc, arrivée sur place, sans avoir mangé en plus, je toquais à la porte, dérangeant un professeur ayant l'air déjà bien énervé. Première réaction ? Monsieur ne me voulait pas au cours, en vue de mon accoutrement dit de « voyou ». Mais cela ne s'arrêta pas là, parce qu'il changea d'idée en voyant mon sourire se plaindre peu à peu sur le visage, parce que ouais, qui ne dit pas cours, ne dit pas mathématiques et dis, pour moi bonheur. Alors il m'invita à prendre place et c'est quand je fus installée que je me retrouvais devant un tableau plein de calculs. Je soupirais, sachant que la journée allait être longue, surtout quand monsieur le matheux décida qu'il fallait m'emmerder un peu. Résultat ? Je me retrouve, debout devant mon banc, bras croisés, capuche sur la tête, regard froid et visage exprimant l'arrogance, sous les rires étouffés des autres élèves. Pourquoi ? Parce que je n'avais pas envie d'aller au tableau pour faire les problèmes remplis de X. Alors de mauvais poil que j'étais déjà avant d'arriver en cours, c'était de lui répondre tout naturellement que « je ne vais pas jouer les perverses avec ses choses X pour réparer ses problèmes, je ne faisais pas psy, et encore moins pute ». Maintenant vous savez pourquoi il a pété un câble en me mettant dehors et pourquoi j'avais ma robe en éclatant un bureau.

Soupirant inlassablement, j'allais déposer mon PC je ne sais où, et mains libres, je marchais dans les couloirs de Undai, « visitant les lieux » assez vides à la recherche d'une occupation avant de me décider d'aller chercher à manger. À la cafétéria ? J'ai mangé rapidement, avant de reprendre mon arpentage de couloirs qui n'étaient pas encore bondés, en vue des heures de cours. Je m'ennuyais, et j'étais d'humeur à taper sur quelqu'un, rien que comme ça, pour rire. Et comme j'avais envie, je ne dématérialisais pas ma robe de combat, on ne sait jamais quand une occasion se présenterait. Ouais vous imaginez un élève courir à son cours et que je lui envois une batte dans le ventre à son passage, rien que parce qu'il faisait trop de bruit ? Oui, c'était une bonne idée, et ce serait marrant. Et comme par magie, une occasion arriva, mais pas vraiment de la façon que je m'attendais. Vous me voyez passer devant une porte et que de cette porte une fille jaillit droit sur moi ? Seul réflexe logique que j'eus ? Bah de l'envoyer valser de l'autre coté de la classe, craignant le contact. Et puis je réalisais, et décidais d'aller à l'encontre de la fille en sang, avec un air comment à votre avis ? Surpris mais aussi bizarrement sadique et énervé, l'air de rien, c'était bien fait, elle avait qu'à ne pas sortir de cette classe quand je passais, et au moins je me suis un peu défoulée. Mais ce n'était pas tout, parce que par un hasard monstre, quand je me décidais à bouger pour lui demander quand même si cela allait, en vue de tout le sang qu'elle pissait, un prof me barra la route en mode « défense suprême ». Non mais il me prenait pour qui celui là ? Offusquée qu'il me prenne pour une brute, je lui tapais dessus, parce que monsieur voulait aussi m'attraper par le col de mon blouson. Résultat de cette situation étrange ? Je me retrouvais avec la fille en sang que j'ai agressé, à suivre le professeur de je ne sais quoi, en direction du rez-de chaussée. Je marchais d'un pas soutenu, avec une tête jusqu'à par terre. C'est en nous trouvons devant le bureau de la directrice que je frissonnais, réalisant enfin la connerie que j'ai faite. Attendez ! Si je dois me retrouver encore devant cette femme aux yeux verts, dans une pièce close en plus que ce soit son bureau, alors comment dire, je me sauve en défonçant le mur s'il le faudra, et là, je cours, je cours, et je ne reviens pas. Mais, je pus constater avec soulagement que ce n'est pas chez la directrice que le prof nous conduisit, mais bel et bien devant la porte du Conseil... Là, je me demandais ce qui était mieux... Parce que j'avais que moyennement envie de me retrouver devant un Ishinose qui voudrait m'étriper, ou un autre membre appartenant à la classe Terminale. Et c'est qui qui gagna le gros lot quand nous rentrâmes ? Yume Kuroi. Après explications farfelues du prof, je me retrouvais blanche comme morte, assise devant un bureau sur lequel se trouvait une Yume glaciale et apparemment de mauvaise humeur.

- Expliquez moi. Vous avez cinq minutes sinon je vous décapite. Un, deux, trois, …

Oui, d'aussi mauvaise humeur que moi, si pas pire. Je ne l'ai pas revu depuis un bon moment, mais quand je sus qu'elle devait rentrer dans peu, j'ai rangé sa chambre, alors je ne crois pas que c'était pour cela hein... Mais bon, en vue de ce qui se trouvait derrière elle, elle devait être bien occupée, et là, là elle avait une plainte sur le dos en plus et deux étudiantes à gérer. Marrant... Non ! Pas marrant, je me grattais l'arrière de la tête nerveusement, que pourrais je lui répondre à son décompte qui, oui par expérience, me donnait froid au dos. Parce que qui dit Yume menaçante, dis Yume va mettre ses menaces en actions, et sans pitié d'ailleurs. C'est la fille qui prit la parole du mieux qu'elle put, essayant de ne pas s'étouffer avec le sang qui coulait de partout. Bon sang, j'espère qu'elle ne crèvera pas hein... C'est possible qu'un humain perde autant de sang en fait ? Attendez... Si je devais tuer, je préférerais que ce soit dans les règles... genre que je le veuille, et non en mode « pas fait exprès ».

-Je...veux aller...à... l'in..fir..merie. S'il...Vous..plaît.

Je la regardais incrédule un moment, avant de me lever tout sourire et plonger mon regard dans les saphirs énervés de la fameuse présidente du Conseil connue sous le surnom de Black Rock Shooter. Oui bon, je pris une grande inspiration, un grand sourire sur le visage, et je m'exclamais :

-Oui ! Il faut que je l'amène à l'infirmerie... Parce que t'as vu comment elle perd du sang, ...

Et là, je me stoppais. Et je réalisais que je ne connaissais même pas le nom de la fille. Mais ce n'est pas cela qui me fit arrêter mes paroles, mais la gueule que tirait Yume, non que elle fût différente de sa tête habituelle. Mais bon, voir un Iceberg en action, qui te refroidit de partout pour te tuer de sa voix jusqu'à ce que tu tombes en hypothermie... Cela te fait réfléchir quoi qu'il en soit. C'est pourquoi, l'ignorant, ouais logique de malade, je me penchais respectueusement devant la jeune fille en sang, avant de lui présenter mes excuses, par politesse et bonne foi.

-Excuse-moi pour cela...

Pour me tourner vers Yume, un sourire amusé sur le visage en disant clairement que... que voilà quoi, j'étais là par mésaventure, et bon, tout est réglé maintenant ! Non ? Je n’avais pas vraiment envie d’expliquer à Yume que je me suis pris à cette fille parce que j'ai passé un mauvais quart d'heure en cours, cours auquel j'étais en retard, et que... j'ai tapé dans la fille sans vraiment faire exprès... Et que j'ai agressé un prof par après. Vous voyez ? Elle allait me tuer, me massacrer, me coller en retenue ou pire encore, si elle entendait cela.

-Yume-San. Voilà tout est réglé, c'était pas grand chose hein, un accident ! Et maintenant, on peut aller à l’infirmerie ?

Une question innocente hein. Une demande, et non une affirmation. Parce que je préférais rester debout devant son bureau, évitant soigneusement son regard, et courir dès qu'elle dirait oui, sans demander mon reste.
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Yume Kuroi
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeMar 22 Mai - 18:24

Et là, c’est là que je me suis dit qu’en plus de me faire chier, la gamine qui pissait du sang du nez et de la bouche allait salir le sol avec son sang. Non pas que ca me faisait chier de la voir dégoulinante de partout, mais c’était pas elle non plus qui allait laver le sol si il était sale ! Moi non plus, mais bon, avant que la femme de ménage n’arrive, j’allais traîner dans son sang toute la journée. Oui, la mauvaise humeur était bien ce qu’il me tenait le plus ces derniers temps et c’était cette même mauvaise humeur qui pointait son joug sur les deux élèves.

-Je...veux aller...à... l'in..fir..merie. S'il...Vous..plaît.

Mais c’est qu’elle arrive à parler sans trop crever la petite ? Ca veut dire que c’est pas si grave que ça hein, genre que tout le sang qui sort de sa gorge là c’est juste parce qu’il est mauvais et qu’il doit sortir, et non pas parce qu’elle a quelque chose de cassé et qu’elle est en train de faire une hémorragie sur place. Du moins, c’est ce que je me disais, non pas que sa vie m’apportait grand-chose, mais avoir un cadavre en plus sur les bras, surtout quand ce n’était pas vous qui l’aviez tué, était vraiment dérangeant. Et l’autre là ? Elle réagit comment à votre avis ? Bah elle se lève et de son air amusé de la situation, rétorque sourire aux lèvres :

-Oui ! Il faut que je l'amène à l'infirmerie... Parce que t'as vu comment elle perd du sang, ...

Et en voyant mon regard disant bien, tu bouges, je t’éclate, la conne du jour se décida de m’ignorer. Mais oui, c’est logique, quand quelqu’un te regarde en te disant bien de pas faire de conneries, la seule chose qui te passe par la tête c’est de l’ignorer, faisant genre que rien n’a été vu, rien a été dit et qu’on vivait dans le plus beau des mondes. Mais bon, devais-je leur dire que les trois minutes que j’écoulais dans ma tête étaient presque finies ? Ou alors dans un élan de bonté naturelle, je me décide de ne pas les décapiter aujourd’hui ?

-Yume-San. Voilà tout est réglé, c'était pas grand chose hein, un accident ! Et maintenant, on peut aller à l’infirmerie ?

Après s’être excusée au près de machin chose dont je ne savais déjà plus le nom … Miharu, oui c’est cela, elle se décida de « remarquer » ma présence en m’accordant une explication des plus farfelues, donc là, elle me disait que si elle venait me déranger alors que j’ai une tonne à faire, c’était tout simplement parce que par un concours de circonstances des plus imprévus, elle était arrivée ici avec son amie à l’article de la mort ? Et que dans le plus joli du monde, ce que le prof m’avait dit, disant que Kaïla avait agressé la fille en sang, n’était que pur mensonge ? Et on pouvait aussi se dire que la fille qui saignait toujours était en train de faire semblant et que ce n’était pas du sang, mais de la sauce tomate qui dégoulinait de son nez ? Mais c’est du foutage de gueule ou quoi ?!

- Assis.

Ca claqua dans l’air comme un ordre suprême dont on ne pouvait s’en déroger, parce que oui, là elle se foutait de ma gueule ouvertement et je ne l’acceptais pas, qu’on soit amie en privé ou non, j’avais mon rôle en tant que présidente et elle celui d’élève et là, là j’avais qu’une envie, c’était de lui arracher les dents une par une pour finir par lui couper la langue. Sortant mon cellulaire de ma poche en composant le numéro de l’infirmière, j’attendis que celle-ci décroche pour lui demander de venir, chose qu’elle accepta. Comptant dans ma tête qu’il ne lui faudra pas plus d’une minute ou deux pour arrivant dans mon bureau, je laissais un silence lourd et froid s’installer entre les délinquantes et moi-même. Ce n’est qu’en voyant ma porte s’ouvrir que je décrochais mon regard des deux filles pour les poser dans ceux de l’infirmière, sourire aux lèvres. Elle s’approcha de la jeune fille en lui tendant des compresses, avant de s’occuper d’elle.

- Ce n’est pas encore trop grave, ton nez n’a pas l’air d’être cassé Miharu-Chan, passe me voir après tes cours quand même pour que j’y regarde de plus près.

Arès avoir administré des soins à la fille, elle s’en alla sans demander son reste. Donc voilà une chose de faite, au moins elle arrêterait de salir mon sol et avec un peu de chance, elle tirera une autre tête que celle là. Levant mon doigt vers Kaïla, je fronçais les sourcils avant de lui dire, froidement sans la moindre émotion ou amitié dans la voix :

- Deux semaines, tu es collée pour deux semaines dans le conseil des étudiants, à la place de taper sur les autres, tu te rendras utile. Si t’as envie de taper les gens, y a l’arène pour ça et évite de le faire pendant tes heures de cours, justement, qu’est-ce que tu faisais dans les couloirs ?

Elle avait le choix, soit je lui donnais ces deux semaines de colle en ma compagnie ou je l’envoyais directement vers le bureau de la directrice. A choisir, je suis sûre que la première option ne la dérangeait pas tant que ça. Tournant les yeux à présent sur la jeune Miharu dont l’hémorragie avait l’air de s’être stoppée, je levais mon doigt à présent sur elle aussi, pour lui dire d’un ton froid mais un peu plus doux que celui que j’avais utilisé pour Kaïla :

- T’es collée aussi, ca t’apprendra à pas savoir te défendre et porter plainte. Ce n’est pas le monde des licornes roses, ici c’est Undai Gakuen. Deux semaines avec Kaïla, vous viendrez tous les matins à 8h ici et vous partirez quand je vous en donnerai l’autorisation. Et justement, commençons dès maintenant.

Me levant de mon bureau, je contournais celui-ci pour reprendre place sur ma chaise, croisant les jambes en cherchant une pile et surtout une occupation aux filles pour qu’elles ne détruisent pas mon travail déjà fait, j’attrapais une pile d’enveloppe et des timbres. Tendant celle-ci à Miharu, je lui dis :

- Évite de foutre du sang dessus, c’est toujours mal vu. Je suppose que vous savez coller des timbres ? Bah commencez.
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeMer 23 Mai - 1:21

-Oui ! Il faut que je l'amène à l'infirmerie... Parce que t'as vu comment elle perd du sang, ...

elle ce moque de moi là j'espère. Bien sur qu'il faut que j'aille à l'infirmerie, je viens de le demander. Quoi que vue le regard de la fille en face, je pense que c'est "juste"une options envisageable. Et Kaïla (j'ai su enfin son prénom) qui continue, à enfin elle s’arrête ce retourne vers moi s'excuse d''une façons trop rapide pour que cela soit réel et ce re-retourne vers la Yume:

-Yume-San. Voilà tout est réglé, c'était pas grand chose hein, un accident ! Et maintenant, on peut aller à l’infirmerie ?

Pour une raison qui mes inconnue Kaïla voulais sortir le plus vite possible. Moi aussi mais pas pour les même raisons. Puis je ne sais pour qu'elle raisons elle s'amusa à donner des explications encore plus Farfelus que celle du prof.

-Assis

Voila la seul réponse que lui donna Yume qui appela l'infirmerie. Ah ben enfin que l'on pense à moi.
Le temps que l’infirmière arrive, Elle laissa planer un silence qui si je n'avais pas déjà mal m'aurait glacer le sang.

- Ce n’est pas encore trop grave, ton nez n’a pas
l’air d’être cassé Miharu-Chan, passe me voir après tes cours quand même
pour que j’y regarde de plus près.

Ce n'ai pas vraiment pour mon nez que je m’inquiète mais enfin. Je n'ai plus la machoir en feu. Je regarde mon uniforme d'un air septique. A espérer que Aria ne tombe pas dessus...

- Deux semaines, tu es collée pour deux semaines dans le conseil des étudiants, à la place de taper sur les autres, tu te rendras utile. Si t’as envie de taper les gens, y a l’arène pour ça et évite de le faire pendant tes heures de cours, justement, qu’est-ce que tu faisais dans les couloirs ?

Franchement comme si ça aller l’arrêter

- T’es collée aussi, ca t’apprendra à pas savoir te défendre et porter plainte. Ce n’est pas le monde des licornes roses, ici c’est Undai Gakuen. Deux semaines avec Kaïla, vous viendrez tous les matins à 8h ici et vous partirez quand je vous en donnerai
l’autorisation. Et justement, commençons dès maintenant.


On fait comment pour les cours... Atents, atents elle vient de me mettre Deux semaines de colle parce que l'autre abrutit de prof a préféré nous envoyer ici plutôt qu'a l'infirmerie!! Bon et bien comme ce n'ai pas les pays des Licornes ici. J'ai Un truc à réglé avant de faire les timbres...

-Je peux juste faire un truc avant de commencé.

Je n'attendit pas sa réponse, je me retournais vers Kaïla:

-Je n'ai rien contre toi, a part peut-être les coup que tu m'as donné, mais bon je me suis pris deux semaine de colle alors que je viens d'arriver pour calmer t'es pulsion n'y vois rien de vraiment personnelle mais...

Et je lui envoyait mon poing à travers la figure. Elle ne vola que de trois mètre mais j’étaie contente de moi.
Me retournant vers Yume:

-ne vous inquiété pas pour le sang. Je crois qu'on pourras ce débrouillé. Ah oui si je puis me permettre serait-il possible que je puisse passer un coup de ménage. J'ai un peu salit le sol...
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeMer 23 Mai - 9:59

-Assis

Voilà à quoi me tenir, simple ordre dit d'une voix relativement froide pour me donner la chair de poule. Et la seule chose que j'ai réussi à faire quand elle m'intima gentiment de s'asseoir sur cette fichue chaise, c'était de m'y asseoir sans brancher. Mais genre, en mode robot, raide comme la mort, seule destination espérée c'était de sortir de cet endroit, ou me faire la plus petite possible. Quelle galère. Et pendant que j'étais en transe, une infirmière vint, ausculte la fille et reparte, disant que 'elle n'avait rien de grave. Alors pourquoi en faire tout un plat bon sang ?! Porter plainte pour si peu hein...

- Deux semaines, tu es collée pour deux semaines dans le conseil des étudiants, à la place de taper sur les autres, tu te rendras utile. Si t’as envie de taper les gens, y a l’arène pour ça et évite de le faire pendant tes heures de cours, justement, qu’est-ce que tu faisais dans les couloirs ?

Et là, un soupir de ma part, une tête disant « putain mais pourquoi moi ?! » pour changer tout cela en une expression ennuyée et nerveuse. Ouais bon, j'aurai dû ne pas me lever ce matin, mais cela, je n'ai pas prévu du tout. Moi qui voulais tout simplement me promener dans les couloirs, je me retrouve dans le Conseil, devant une Yume trop froide à mon goût, une meuf qui pisse le sang... enfin plus maintenant, mais on se comprend, et avec deux semaines de colle... Et si je lui dis que je me suis faite viré de mon cours de mathématiques, elle serait fâchée ou elle en rirait si je lui parlais des remarques que j'ai sortit au professeur ? Qui sait, mais là on dirait qu'elle avait plus envie de mordre qu'autre chose. D'ailleurs...

- T’es collée aussi, ca t’apprendra à pas savoir te défendre et porter plainte. Ce n’est pas le monde des licornes roses, ici c’est Undai Gakuen. Deux semaines avec Kaïla, vous viendrez tous les matins à 8h ici et vous partirez quand je vous en donnerai l’autorisation. Et justement, commençons dès maintenant. Évite de foutre du sang dessus, c’est toujours mal vu. Je suppose que vous savez coller des timbres ? Bah commencez.

Je ne sais pas pourquoi, mais j'essayais d'étouffer un rire bien présent. Non, mais c'était vrai que les licornes c'était certainement pas dans cette Académie. Et maintenant, au lieu d'aller en cours, je vais m'amuser à coller des timbres. Et aller jusqu'à coller l'autre fille... Faut dire que c'était même bien pour elle en quelque sorte, normalement je tape, je me barre et on oublie... et là. Et là, j'affichais une mine ennuyée, presque affalée sur le bureau devant moi, une pile de lettres à timbrer. Je soupirais en me rassurant que ce soit toujours mieux que d'aller en cours, et là, j'aurai même une justification.

-Je peux juste faire un truc avant de commencer. Je n'ai rien contre toi, a part peut-être les coup que tu m'as donné, mais bon je me suis pris deux semaines de colle alors que je viens d'arriver pour calmer tes pulsions n'y vois rien de vraiment personnel mais...

Mais quoi ? Mais pourquoi je me retrouve sur le sol, une tête passant de neutre ou ennuyé à un visage exprimant la surprise et puis... et puis la douleur ? C'est quoi l'enroule... Et je restais ainsi sur le sol, réalisant peu à peu que la fille que j'ai agressé sans vraiment faire exprès venait à son tour de me taper dessus, et dans le Conseil en plus, devant Black Rock Shooter... Parlant des licornes, j'en voyais à ce moment, mais c'était des petits chevaux noirs avec des yeux rouges en plus d'être cannibales. Je mis ma main à l'endroit où la fille m'a touché, de son poing violent et je rivais mes yeux sur sa silhouette qui commençait à se voiler devant mes yeux teints d'un rouge meurtrier. Elle m'a touché... Elle m'a frappé... Comme ça... Sans raison apparente. Pour se venger de quelque chose qui était arrivé par inadvertance. Elle n'avait rien prévu de personnel dans ce geste déplacé ? Eh bien maintenant c'était très personnel.

-Ne vous inquiétez pas pour le sang. Je crois qu'on pourra se débrouiller. Ah oui si je puis me permettre serait-il possible que je puisse passer un coup de ménage. J'ai un peu salit le sol...

Et... Elle se foutait de moi en plus ?! Non mais pour qui elle me prenait ? Non, je ne me la faisais pas à l'égocentrique reine du monde, mais j'étais tout de même Silver Sword, une Première connue de tous, et là... Je me faisais agresser littéralement par une fille sortie de Seconde. J'étais choquée, oui vraiment carrément déboussolée. Ménage... ? J'éclatais de rire, mais un rire monstrueux passant d'un ricanement à un vrai éclat à plein poumons. Je me relevais doucement, les fesses en feu après cette chute imprévue, le regard devenu sombre de... de sadisme, d'amusement. Oui, j'ai très mal pris ce geste tandis que j'étais presque en mode paisible à coller ces fichus timbres. Et là... là... là, il y a ma robe de combat qui apparut instinctivement sur moi, comme pour répondre à mes pensées les plus ténébreuses, mon sourire devint de plus en plus grand et mon œil droit s’enflamma d'une flamme rouge présentant bien à ceux qui voulaient, que derrière mon sourire sadique j'étais vraiment, mais vraiment en colère. En moins de temps qu'il fallait pour le dire, j'attrapais la fille par le col et la soulevai de sa chaise, ignorant quasiment les conséquences de ce geste tout aussi inapproprié que celui de cette fille il y a de là quelques minutes. Je l'écrasais au sol de ma main géante, et me mis à... à le frotter avec.

-Tu veux nettoyer le sol c'est cela ? Eh bien voilà ! Tu crois quoi ?! On ne me touche pas !

Et voilà, ma phrase d'attaque sortie, je la fis glisser « gentiment » à travers la pièce, furieuse comme jamais. Et parlant des licornes, j'avais une envie immense de lui écraser la tête. Comment cela, ça n'a rien avoir avec les licornes ? Eh bien maintenant si, en vue que je m'approchais déjà dangereusement d'elle pour prendre sa tête d'une seule main et y exercer une pression. Non, je n'étais peut être pas capable de tuer quelqu'un en dehors de l'Arène, en vue de la culpabilité que cela m'aurait apporté, mais par contre, là, là j'avais au moins envie de la défigurer.

-Kuroi-San, ce que je fais pendant les cours ? Je ramasse les gens... sous de bons prétextes.

Oui, voilà ce que je faisais. Et je le lui dis d'un ton neutre rivant mes yeux dans ceux assez verts de la fille qui m'a attaqué. Pourquoi je l'ai appelé par son nom ? Tout simplement car il n'y avait pas place à l'amitié ici, c'était Undai, le Conseil des étudiants, et autant savoir se tenir à sa place. Oui, cela me rappelait les paroles d'une certaine personne... Même si je crois que là, que je m'attaque à une élève devant les yeux de la Présidente... c'était pas vraiment poli ou juste décent. Mais c'était pas ma faute, là j'avais une très bonne raison de réagir ainsi. Bon... je matérialise une barre et je la bats à mort ou alors... un couteau pour lui enlever ses yeux... Quelle question de vie ou de mort. Vous voyez la scène ? Moi en colère, ma robe de combat boostée pour une guerre, se tenant dans le bureau du Conseil, la tête de la fille de Seconde dans ma main contre un mur, me demandant ce que je pourrais matérialiser dans l'autre main pour lui infliger des dégâts considérables, tout cela avec un sourire sadique sur mes lèvres... Quoi que non, j'étais en colère. Beau spectacle.

HRP: désolée de te maltraiter Miharu, mais je dois avouer que je m'attendais pas à ce que tu me tapes dessus xD
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeMer 23 Mai - 10:26

-Je peux juste faire un truc avant de commencer. Je n'ai rien contre toi, a part peut-être les coup que tu m'as donné, mais bon je me suis pris deux semaines de colle alors que je viens d'arriver pour calmer tes pulsions n'y vois rien de vraiment personnel mais...

Je regardais la fille qui venait de prendre les lettres que je lui tendais, levant un sourcil, je me demandais bien ce qu’il lui passait par la tête à cet instant précis et ce fut, sous un air surpris que je vis les songes de la fille en action. S’approchant de Kaïla, elle abattit son poing sans plus attendre dans son visage, faisant voler sa victime de l’autre côté de la salle dans un bruit sourd. Regardant les tables tomber tout en soupirant, je me demandais bien dans quel cirque j’étais tombée, et dans ce cirque des plus amusants ou des plus ennuyants selon votre point de vue, moi j’étais là, spectatrice sans vraiment bouger ou réagir à cette scène. Laissant tomber les yeux sur Kurayami, j’eus un petit sourire désolé à son encontre avant de reporter mon attention sur mes papiers, parce que oui, j’avais autre chose à faire que regarder des gens se taper.

-Ne vous inquiétez pas pour le sang. Je crois qu'on pourra se débrouiller. Ah oui si je puis me permettre serait-il possible que je puisse passer un coup de ménage. J'ai un peu salit le sol...

Bonne sainte que pouvait être cette Miharu, elle s’inquiétait des affaires qu’elle eut salies. En temps normal, j’aurai trouvé ça appréciable de voir une telle élève, mais comme je le répète depuis un bon moment, j’ai à faire et ce à faire ne peut pas attendre. Attrapant un dossier dans mes mains, j’ouvris celui-ci avant de lire le profil de l’élève présentée devant moi. Bonnie A. Satô, perturbatrice de premier ordre, tapages nocturnes, combat dans le centre commercial, ah ? Sur son dossier il y avait une note d’Hibari et d’Aria, je cite la note du garçon : « Fille perturbée que j’eus le plaisir de remettre sur le droit chemin, Dieu et magnifique que je puisse être ». Était-il approprié de faire ce genre de note dans les dossiers des élèves, genre il aurait pu tout simplement marquer qu’il l’avait tabassé, ca serait passé peut être mieux. Donc à présent, la note d’Aria à son sujet « Fille dont … ». Je n’eus le temps de continuer ma lecture qu’un bruit sourd attira mon attention, me levant un peu pour regarder mon sol, je vis Kaïla, non plutôt Miharu la tête contre celui-ci tandis que Kurayami usait de son visage pour nettoyer le sol tout en gueulant comme un putois :

-Tu veux nettoyer le sol c'est cela ? Eh bien voilà ! Tu crois quoi ?! On ne me touche pas !  Kuroi-San, ce que je fais pendant les cours ? Je ramasse les gens... sous de bons prétextes.

Et voilà que la première venait de péter un câble, mais pas n’importe quel câble parce qu’après lui avoir fait manger le sol, elle la souleva en compressant sa tête entre sa main géante en robe de combat. Fini ? Non, parce que maintenant c’était contre un mur qu’alla s’écraser la pauvre seconde qui n’avait qu’envoyé son poing dans le visage de la première. Genre, c’était rien et l’autre elle s’excitait. Oui, j’aurai fait pareil et je savais Ô combien Kaïla ne supportait pas le contact physique. Mais ce qui était sans doute le plus chiant dans tout ça, c’est qu’elle s’était fait collée pour avoir taper une fille et qu’après mes dires, elle le refaisait devant moi. Je suis du genre à apprécier qu’on respecte les règles, non, je suis exigeante sur ce point et l’autre n’en faisait qu’à sa tête. Matérialisant à mon tour ma robe de combat, la flamme bleue apparu sur mon œil gauche et je levais la main vers ma jeune élève avant d’exercer, une pression forte sur son corps, l’obligeant donc à relâcher la fille. Elle était sous mon pouvoir, elle ne saurait bouger ou parler tellement que ma pression se resserrait sur elle, faisant même éclater sa robe de combat l’obligeant donc à reprendre son apparence normale. Ce n’était pas vraiment un pouvoir de matérialisation, disons qu’en tant que marionnettiste et douée dans mon genre, j’utilisais la pression atmosphérique que je déformais à volonté, tel que l’air pour abattre un contrôle physique sur les gens. D’un mouvement de la main, toujours assise sur ma chaise, je la fis reculer jusqu’à ce qu’elle soit assise sur une chaise.

- Je dois le dire dans quel langue quand je veux du clame et que vous arrêtiez de vous battre ?

C’était froid, mais un ton ennuyé bien prononcé se sentait dans ma voix. Me levant à présent de ma chaise, je m’approchais de la jeune fille, arrivant à son hauteur, je la regardais de haut en croisant les bras avant de lui dire :

- On récolte ce que l'on sème. Si tu veux combattre, c’est dans l’arène que tu devras te rendre, je ne compte pas que ma salle de travail devienne un champ de bataille. A toi de voir si tu te sens capable de te battre pour ton honneur devant une première, Miharu-San.

Si elle se lève et fonce sur Kaïla, je la tue.
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeJeu 24 Mai - 0:34

Kaïla ce releva me fit voire le sol d'encore plus prés.
-Tu veux nettoyer le sol c'est cela ? Eh bien voilà ! Tu crois quoi ?! On ne me touche pas ! Kuroi-San, ce que je fais pendant les cours ? Je ramasse les gens... sous de bons prétextes.

Un bon prétexte. Non mais je ne sais pas d’où viens ce prétexte mais ce n'ai pas vraiment le meilleur. je n’eus pas vraiment le temps de répliquer quoi que soit. J'avais la tête compresser dans je ne sais quoi. Ma vision deviens flou. Si Kaïla continuait je ne pense pas que je m'en sortirais indemne. Puis d'un seul coup la tension s’arrêta pour revenir de plus belle dans le torse cette fois ci ce n'était pas Kaïla mais Yume. Elle avait changé de tenue et des petite flamme bleu s'échappait de son œil gauche. On se retrouva toute les deux assisse dans une chaise. Yume ce rapprocha de Kaïla:

- Je dois le dire dans quel langue quand je veux du clame et que vous arrêtiez de vous battre ?

Puis ce retourna vers moi:

- On récolte ce que l'on sème. Si tu veux combattre, c’est dans l’arène que tu devras te rendre, je ne compte pas que ma salle de travail devienne un champ de bataille. A toi de voir si tu te sens capable de te battre pour ton honneur devant une première,
Miharu-San.

Me battre pour mon honneur, il n'y pas d'honneur juste une injustice et un prof complétement barge qui n'a pas fait son rôle. Je ne répliquais pas sachant bien que ce que Kaïla faisait ce n'était rien comparé a Yume. Je repris mon souffle difficilement. Ma machoir était redevenue douloureuse. Pourtant cela ne m'affectait pas. J'avais juste envie de rester là a ne rien faire, accepter de faire les timbres si c'est ce qu'elle voulait. Mais, j'avais un ego qui, même en étant pas sur dimensionné, voulait réparation.

-Je ne tiens pas à me battre pour qu'elle que chose d'aussi vain que l'honneur mais, si
Kaïla et d'accord pour accepter de ce battre avec une Novices comme moi. Je suis partante.


Je me retourne vers Kaïla qui ne fait un tête des bon jour.

-Comme je l'ai dit je ne t'en veux pas mais il me fallait une bonne raisons pour avoir deux semaine de colle alors que à la bases moi je ne demandais que à aller à l'infirmerie( pas ma faute si l'autre abrutit est incompétent)


Je me retournais vers Yume:

-Je m'excuse profondément pour tout les désagréments causé. Je sais que cette école n'ai pas le paradis pour les Licornes roses. Je suppose que cela arriveras encore( ce genre d'incident). Mais si il est possible que avant que l'on commence on (Kaïla et moi) aille ce changé, Vous l'avez dit vous même le sang c'est mal vue.


Je sais pas vraiment à quoi je m'attendais avec une réponse pareil. Après tout même si on ne vivait pas dans le monde des Bisounours, être un tant soi peut propre c'était bien, non?

Spoiler:
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeVen 25 Mai - 15:35

Comme pour m'empêcher de tuer la fille quand j'étais sur le point de vraiment me lâcher dessus, Yume intervint illico. Je serrais les dents avec une expression mauvaise sur le visage en fusillant la Présidente de mon regard rouge, quand elle me pressa au point de dématérialiser ma robe. Assise à présent sur une chaise à bonne distance de la fille qui m'a mis dans un état second, je supportais le regard bleu et froid qui venait de me faire lâcher prise. Non mais non ! En plus madame était assise comme si de rien était, usant de son pouvoir pour... Voilà quoi !

- Je dois le dire dans quel langue quand je veux du clame et que vous arrêtiez de vous battre ? On récolte ce que l'on sème. Si tu veux combattre, c’est dans l’arène que tu devras te rendre, je ne compte pas que ma salle de travail devienne un champ de bataille. A toi de voir si tu te sens capable de te battre pour ton honneur devant une première, Miharu-San.

Je croisais les bras avec une expression boudeuse sur le visage. Non, mais j'ai rien fait moi, je réponds juste à des attaques directes ! Je n'allais tout de même pas rester tranquille, bras pendant, en me remettant à coller des timbres comme si c'était évident que après s'être fait ramasser par surprise, il ne fallait pas bouger, oublier même ce geste. Et là, en plus d'avoir une belle retenue dans ce Conseil remplis de fous, je me voyais avec la mâchoire endolorie à cause d'une Seconde. Putain, quelle journée de merde, je savais bien que je n'aurais pas dû me lever ce matin, et rester tranquillement dans mon lit.

-Je ne tiens pas à me battre pour quelque chose d'aussi vain que l'honneur mais, si Kaïla et d'accord pour accepter de se battre avec une Novice comme moi. Je suis partante. Comme je l'ai dit je ne t'en veux pas mais il me fallait une bonne raison pour avoir deux semaines de colle alors que à la base moi je ne demandais qu’à aller à l'infirmerie.

Vous me voyez à ce moment précis ? J'éclatais de rire, non parce que je me suis fait taper pour une raison aussi bizarre soit-elle, mais parce qu'elle voulait vraiment un combat avec moi, et en plus elle soulignait bien qu'elle n'était que novice, tandis que moi... moi j'étais déjà bien avancée dans mon apprentissage en Première. Je suis presque sûre qu'avait même qu'elle n'arriva à matérialiser quoi que ce soit, je l'aurai déjà découpé en pièces détachées. Ridicule. Mais j'en voulais aussi à Yume-San, en quelque sorte, c'était sa faute que je me suis faite frapper, à cause de deux semaines de colle qu'elle m'inventa sur place. Non mais... Il y en a d'autres qui tuent ses camarades et eux... et eux se font tuer par le Conseil. Okey, j'accepte les deux semaines de colle pour avoir frappé involontairement une étudiante de cette Académie. Maintenant, à voir combien de jours sur ces deux semaines, j'irai coller des timbres. Ouais, on verra. Je me relevais de ma chaise, debout, les bras croisé, je larguais l'étudiante du nom de Miharu de haut. Non, pas de haut, non.

-Je m'excuse profondément pour tous les désagréments causés. Je sais que cette école n'est pas le paradis pour les Licornes roses. Je suppose que cela arrivera encore. Mais si il est possible que avant que l'on commence on aille se changer. Vous l'avez dit vous même le sang c'est mal vue.

Non... Pas de haut, mais avec un sourire moqueur sur le visage. J'étais suicidaire, mais cette fille était complètement folle. Donc, elle voulait vraiment y aller, mais de vraiment. Même moi, je me suis dit que c'était une mauvaise idée, et que je n'avais pas forcément envie de me défouler sur la jeune fille, rien que pour le plaisir de lui abattre mon poing sur le visage, en vengeance à ce qu'elle m'a fait. Mais là... là... Que pouvais je dire en fait ? Refuser prétendant que je n'avais pas que cela à faire, continuant de coller les timbres avec cette rage qui m'habitait, sous le regard froid d'une Yume qui n'attendrait qu'un faux mouvement pour me mettre la main dessus... Je pense que cela aussi serait mal venu de ma part. Mais bon... Est-ce qu'il y a que moi qui vois l'injustice d'accepter un tel affront ? On dirait bien, le monde est fou, et j'en fais partie, autant faire des folies quitte à mettre les gens en morceaux.

-Ridicule.

Ce mot sortit tout seul, sombrement d'un ton froid pas caché, avec presque un ennui bien voyant. Oui, mes mains voulaient s'abattre sur cette fille, mais mon cerveau me hurlait que c'était vraiment une perte de ton. Et même si je n'avais aucun scrupule, mon sens de justice était bien présent. Peu à peu un sourire de plus en plus grand se frayât un chemin bien définis sur mon visage. Oui, si je la tapais une bonne fois pour toutes, je placerais ainsi les règles et rapports de forces entre les gens de cette Académie, et ainsi, j’éduquerais cette fille, en quelque sorte. Non, mais c'est quoi le problème de mon cerveau parfois ? J'ai de ces idées. Et ! Et surtout ! Cela me fera passer du temps dans un endroit que j’affectionnais particulièrement. Je roulais des yeux, d'un air vraiment ennuyé.

-Si tu veux goûter à la mort en moins de cinq secondes, cela me va. Allons donc à l'Arène. Après tout... J'ai une bonne raison. Pas besoin de se changer.

Je souris ironiquement, avant de me tourner vers Kuroi-San avec un éclat froid, mais féroce. Je décroisais mes bras pour la larguer elle aussi, mais non d'un regard moqueur ou hautain, mais juste un qui disait que j'ai une pique bien cinglante à son encontre. Me décidant pourtant de n'en faire rien, je soupirais en mettant mes mains dans les poches de mon blouson de fortune. Celle-là, quand elle mettait des idées étranges dans la tête des gens, elle voulait que je tue la pauvre Miharu, ou juste que je puisse me défouler avant de changer son lieu de travail en apocalypse sous mes pulsions meurtrières ? Quoi qu'il en était, je trouvais cela cruel de sa part. Autant pour moi qui n'avais pas forcément envie de m'acharner de trop sur quelq... mais qu'est ce que je raconte depuis tout à l'heure moi aussi ? Évidement que je voulais mettre cette fille en charpie, rien que pour assouvir mon besoin de meurtre, et évidement que parfois j'adorais Yume pour me laisser le faire dans les règles. Et oui, si elle ne l'avait pas proposé, tôt ou tard Miharu serait tombée sous ma personne dans un couloir où ailleurs, où je lui donnerai une bonne leçon, me tapant peut être une autre retenue.

-Kuroi-San, nous feriez-vous l'honneur de superviser le combat en nous laissons y aller maintenant, ou après votre... retenue imposée ?

Évidement que je n'allais pas la lâcher avec ce genre de parler, même si ma voix sonnait bien ironiquement à ce moment. Quoi que non, elle était emplie d'un sentiment de férocité talonné par celui de l'ennui. Cela donnait quoi ? Cela donnait moi avec un air mécontent sur le visage, mais où on pouvait voir par moment un sourire ironiquement moqueur.
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeVen 25 Mai - 16:17

-Je ne tiens pas à me battre pour quelque chose d'aussi vain que l'honneur mais, si Kaïla et d'accord pour accepter de se battre avec une Novice comme moi. Je suis partante. Comme je l'ai dit je ne t'en veux pas mais il me fallait une bonne raison pour avoir deux semaines de colle alors que à la base moi je ne demandais qu’à aller à l'infirmerie.

Restant sans bouger en sentant le regard pesant de Kaïla, regardant avec attention l’échange verbale entre les deux filles. Donc comme ça, si elle s’en est prise à Kurayami, ce n’était que pour avoir une bonne raison d’avoir deux semaines de colle ? Quand je disais que ce monde était fou, ce n’était pas pour rien. Mais bon, je pouvais me sentir contente qu’elle ne se décide pas à péter une vitre du conseil ou foutre le bazar rien que pour avoir une bonne raison, selon elle, d’être présente ici. Soupirant lourdement en fermant les yeux, je tapais ma main sur mon front d’un air désespéré.

-Je m'excuse profondément pour tous les désagréments causés. Je sais que cette école n'est pas le paradis pour les Licornes roses. Je suppose que cela arrivera encore. Mais si il est possible que avant que l'on commence on aille se changer. Vous l'avez dit vous même le sang c'est mal vue.

Acceptant volontiers ce que je lui avais proposé, elle s’excusa également. Je me demandais intérieurement ce qu’il pouvait bien avoir de clochant dans la tête de cette fille, bien que ce soit moi qui avait émit cette hypothèse d’aller dans l’arène, je ne m’attendais pas à ce qu’elle dise oui, en connaissance de causes. Mais dans le but premier, l’arène était là pour exprimer nos sentiments les plus féroces, afin de nous extérioriser, d’apaiser notre être, du moins quand on en ressortait vivant. C’était son but premier, mais avec le temps, les gens ne voyaient plus que l’arène comme un endroit où se battre, ne cherchant même plus à se dé-frustrer, mais bien à taper sur le premier venu dans les règles.

-Ridicule. Si tu veux goûter à la mort en moins de cinq secondes, cela me va. Allons donc à l'Arène. Après tout... J'ai une bonne raison. Pas besoin de se changer.

Un simple mot en disant long sur la pensée de la fille aux yeux rouges, levant les yeux vers celle-ci en croisant son regard, je souriais jaune. Si elle avait été capable de me tuer de ses pupilles, je ne serai déjà plus de ce monde. Mourir en cinq secondes disait-elle, elle avait une trop grande estime d’elle-même, que savons nous sur la jeune seconde, il était possible qu’elle révèle sous nos yeux une endurance hors du commun et avec un semblant de chose, je lui aurais quand même accordé une bonne minute avant que son cadavre ne jonche le sol, sous les coups de Kaïla.

-Kuroi-San, nous feriez-vous l'honneur de superviser le combat en nous laissons y aller maintenant, ou après votre... retenue imposée ?

« Kuroi-San », quelle appellation voulant tout dire, encore un peu et j’aurai cru me retrouver devant Hibari tellement que son ton froid, relevait de l’ironie à m’en donner mal à la tête. D’un mouvement de la main, je soupirais tout en posant ma main sur ma bouche, regardant les deux filles à tour de rôle. Après un dernier soupir, j’ouvris la porte du conseil en leur faisant signe de la main de me suivre.

- Allons y.

Marchant d’un pas rythmé vers l’arène, nous arrivions rapidement devant la porte invisible de celle-ci. Toujours avec mon air froid, légèrement désespérée, je franchissais la porte tout en matérialisant ma robe. Arrivant dans mon sanctuaire, j’attendis que les deux jeunes filles passent la porte également et que leurs robes se créent sur leurs corps. Oui, j’étais décidément la pire des femmes pour laisser deux enfants se battre entre eux, sachant que la différence de force était énorme entre les secondes et les premières. M’approchant de Kaïla, sourire aux lèvres, une idée saugrenue me parvint à l’esprit. D’un mouvement brusque, je lui fis un croche pied, la faisant tomber en arrière, avant de la rattraper de ma main, mon bras s’enroulant autour de ses hanches pour finalement, tout en usant de mon autre main pour rattraper les cheveux tombant sur le visage de mon élève, déposer mes lèvres sur les siennes. La vision du prince charmant embrassant sa dulcinée me parvenait à l’esprit, mais ce n’était pas du tout ce que je faisais, non, j’allais changer le court du combat qui allait éclater en diminuant considérablement le fossé entre elle et Miharu. Aspirant son énergie aussi facilement que je lui en donnais à mes temps perdu, je ne lui laissais donc plus que 25% de chance de matérialisation, ce qui se résumait à une seule attaque de grande envergure et peut être la matérialisation limitée d’une seule épée. Dieu, je suis un monstre. Une fois cela fait, je me reculais d’elle, sourire amusé sur le visage avant de lui murmurer à l’oreille :

- Si tu croyais que j’allais t’accorder de la massacrer si facilement, tu me connais mal, Kurayami-San.

Marquant bien son nom et la manière dont je l’avais appelée, je laissais un petit rire trôner l’air avant de créer, comme à mon habitude, un trône sur lequel m’installer. Regardant la lune toujours blanche, je me levais sur mon siège divin avant de crier à l’encontre des autres élèves se trouvant dans l’arène :

- Dehors.

Réponses des gens ? Ils partirent sans demander leurs restes, comprenant que quelque chose allait se passer. Prenant place dans les gradins, ceux-ci chuchotèrent entre eux en se demandant ce qu'il y allait avoir. Descendant en prenant place sur le siège de pierres, je posais mon coude sur l’accoudoir avant de poser ma tête sur ma main, un petit sourire sur le visage avant de dire, à l’encontre de Miharu :

- Avant que l’on commence, je vais te demander de matérialiser une balle de la taille de ton point. Pour cela, pense à celle-ci dans ta tête et fait la apparaître dans ta main, cela sera assez simple à faire normalement.

Pour montrer mes dires, je fis apparaître une petite balle bleue sur laquelle se trouvait une étoile blanche. Une fois qu’elle saura le faire, le combat pourra commencer, il ne fallait plus qu’espérer qu’elle sache courir vite avec la furie de Kurayami.

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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeSam 26 Mai - 3:18

-Ridicule. Si tu veux goûter à la mort en moins de cinq secondes, cela me va. Allons donc à l'Arène. Après tout... J'ai une bonne raison. Pas besoin de se changer.

Ridicule, ça c'est sur voir même fou pourquoi je lui est dit oui pourquoi. Au mon dieu. Je vais me faire tuer. Pourquoi je n'ai pas réfléchit. Maintenant me voila sur une corde à bientôt me balancer et ces moi qui me suis mis la corde seul. Enfin mais pourquoi je lui est proposer d'aller dans l'Arène est t-il bon de leur dire que j'y suis jamais rentré. Après tout qu'est ce que ça changerais. Rien, absolument rien. Bon peut-être qu'elle exagère. Cinq seconde c'est quand même vraiment peu.

-Kuroi-San, nous feriez-vous l'honneur de superviser le combat en nous laissons y aller maintenant, ou après
votre ...retenue imposée ?


Non moi je vote pour maintenant.Au temps que cela soit rapide. N'empêche je serait honoré d'être "supervisé" par Yume Kuroï pour mon première jour dans l'Arène.

-Allons-y
. lâcha Yume.

On devais avoir l'air bien deux filles avec du sang sur l'uniforme, la tête haute. Et tout ça accompagné de Black Rock Shooter qui n'avait pas l'air dans un de ses bons jours.
On arrive devant la Porte de l'Arène. La salle est vide mise à par un mur de verre que Yume traverse puis Kaïla. Je les suis en leur laissant de l'avance. Après avoir traversé le mur je tombais su un monde complétement différent même les tenue des gens étaient bizarres (ou spéciales au choix). Ma tenue aussi à changé. Une grande veste/kimono me couvre jusqu’au sol Des bandes blanches ce trouvent aux niveaux de mes mains, des seins et du bas de la veste. En dessous un col roulée et un jeans avec une paire de bottes à talons (pas trop haut quand même). Une larmes de rubis pends prés de mes omoplates grâce à une chaine en en argent(enfin je pense que ces de l'argent mais j'en suis pas sur)
Je sort de ma rêverie alerté par une scène pour du moins particulière.
Yume venait de déposer un baiser sur les lèvres de Kaïla.

- Si tu croyais que j’allais t’accorder de la massacrer si facilement, tu me connais mal, Kurayami-San.

Oh, que c'est gentille de sa part. Il n'y à aucune ironie dans ce que je viens de dire juste de la reconnaissance. Sait-on jamais que je réussisse à vivre un peu plus longtemps. Assez pour je sais pas moi. Enfin tout simplement montrer un peu ce que je vaux.
Yume fit apparaître un trône sur lequel elle s’installa (tiens, elle à des penchants mégalomane elle aussi)

-Dehors. lâchât-elle.

Les inconnus ce trouvant dans l'Arène sortirent sans demandé leur reste. Et ben qu'elle autorité. eh ben non...les inconnus ce sont tous placé dans les gradins. Qu'elle puasse. Franchement comme si il n'y avait que cela à faire.

- Avant que l’on commence, je vais te demander de matérialiser une balle de la taille de ton point. Pour cela, pense à celle-ci dans ta tête et fait la apparaître dans ta main, cela sera assez simple à faire normalement.

Ce qu'elle me montra: une petite balle bleu avec une étoile dedans.
Une balle? Bon eh bien je... Je vais devoir le faire. Vue comment on me regarde. Je ferme les yeux et imagine une belle de la taille de mon points? bon on va grossir un peu l'image, et on va lui mettre une couleur: Le jaune tiens!
J'ouvre les yeux, en face de moi ce trouvait exactement ce que j'avais imaginer. C'est super. Un grand sourire s’affichât sur mon visage. J'avais l'impression d'être un enfant à qui on à donner un nouveaux jouer et avec lequel il à envie de jouer. Ce que je fit en la transformant en triangle puis j’essayais de formé une formes plus complexe. Ce qui ne fonctionna pas vraiment.

-C'est super. On peut faire quoi d'autre avec?


Je sais pas si ma réaction est vraiment la meilleur. Mais c'est Magnifique comme réaction.
Je transformais la forme en balle comme au début et regarda Yume. J'étais heureuse et même si j'allais surement me faire défoncer. J'avais put assister à un truc Génial.

-Je...je c'est trop bien...


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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeSam 26 Mai - 11:10

Sans que je n'ajoute quoi que ce soit, notre chère Présidente me donna le feu vert pour aller massacrer la fille se trouvant dans le Conseil avec moi, mais en même temps elle céda à la demande suicidaire de Miharu. J'étais abasourdie ? Non pas vraiment, je suivais les pas de Yume, talonnés par ceux de la fille que j'ai et qui m'a agressée. J'essuyais un peu ce qui me servait de visage avec la manche de mon blouson tout en continuant ma marche mécanique, oui, je connaissais le chemin par cœur, même les yeux fermés je saurais où se trouve l'Arène, peu importe où j'étais. Bon sang, le sang, c'est assez difficile à partir, surtout sur les vêtements, et voilà que un de mes pulls préférés se voyait couvert de ce dernier, en plus de mon propre fluide vital. Et après on dit que la vie est faite de méchants et de gentils, mais les méchants aussi souffrent hein ! Regardez, là je viens de tracer une croix sur mon vêtement.

En colère, oui voilà comment j'étais, pénétrant par la porte invisible droit dans un espace de guerre, horreur, haine, mais aussi amusement, joie et entraînements. Mais alors là, là, je crois que j'ai complètement pété un câble, vu que après que je perde équilibre, je sentis quelque chose de froid se déposer sur mon visage. Et c'est là que toute mon assurance ainsi que ma force commençait à diminuer, mais dans le sens aspirés comme pour rire, à une vitesse folle, au point que j'ai cru que j'allais défaillir tellement c'était inhabituel pour moi de perdre mes forces ainsi. Je me reculais instinctivement de Yume qui me montrait bien à quel point, elle était monstrueuse.

- Si tu croyais que j’allais t’accorder de la massacrer si facilement, tu me connais mal, Kurayami-San.

De la colère, mon œil droit qui vire au rouge intense faisait y apparaître une flamme tout aussi couleur feu que mes rubis. J'étais déjà de mauvaise humeur, mais là je suis juste furieuse. Furax avec une seule envie c'est de mettre en charpie ce qui me servait de colleuse aux heures supplémentaires. Elle se foutait de moi, dites le ! Je serrais les poings tandis que Yume s'installait sur cet éternel trône que je l'ai déjà vu utiliser pour mon passage en rang. Un sourire de sa part à l'encontre de Miharu, une tête ennuyée disant bien qu'elle était fière de ses abjections, et... je vais la tuer. Je pus voir aussi que les gens commençaient à partir à une vitesse folle en vue de l'ordre donné par la fille aux yeux bleus où une flamme de la même couleur dansait depuis son entrée dans l'Arène. Je voulais encore hurler à l'injustice, moi qui voulais m'amuser avec mes nouvelles attaques, comme des fils d'électricité me sortant du gant et tout, je voulais expérimenter, et là, je me voyais réduite à presque rien, rien de ce que j'avais besoin pour bien m'amuser. D'ailleurs, combien de forces me restaient-ils, pour combien de créations ? Peu. Mais en fait, il ne me fallait pas d’avantage, sauf que là... je ne m'amuserai pas.

Avec tout autant de fureur, j’oubliais complètement Miharu ainsi que les nazes sur les gradins, pour aller me planter devant une Yume trop pas du tout impressionnée que je sois si menaçante sur le moment, ou juste qu'elle n'avait pas que cela à faire, vu qu'elle donnait des instruction à Miharu, des instructions et exercices à faire pour quelqu'un qui rentre pour la première fois dans l'Arène... Je vois. Je saisis Kuroi-San par le col de sa robe de combat et la soulevais un peu de son super trône en pierre, non mais elle se croit où ? Chez elle voyons.

-YUMEEE-San ! .. Tu... Injuste !

Comme le premier mot est sorti avec colère, les autres se perdirent dans ce même voile de mécontentement. Je la relâchais en me reculant un peu, tout en pointant mon doigt sur sa personne, au point de lui toucher le front et de pousser un peu dessus pour...

-C'est super. On peut faire quoi d'autre avec ? Je...je c'est trop bien...

Pour tourner mon regard vers la jeune fille qui tenait en sa possession une balle qu'elle transformait à sa guise. Pas mal du tout pour le premier coup, elle était de ceux assez bons, un peu comme moi, je le lui accordais. Et là, je me suis dit que en fait, j'avais plus envie de mettre Yume-San en pièce que l'autre agresseur, parce que si je ne peux pas m'amuser, un combat ne sert à rien. Mais, bon... Yume allait me mettre en charpie si par malheur je m'amusais à lever quoi que ce soit sur elle, surtout avec le peu d'énergie qui me restait. Mon dieu que j’avais la haine ! On pouvait presque me voir hurler dans tous les sens tellement c'était pas juste. Je serrai mon poing d'avantage, mais bizarrement, il y avait quelque chose de métallique dedans. Silver Sword hein, une épée longe d'au moins trois mètres apparu comme par magie dans ma main, suivant certainement mon cœur disant qu'il était en colère. Une épée en argent, simple, paraissant gigantesque et donc lourde, mais elle ne l'étais pas pour moi. Je l'aimais, oui c'était ma première arme après mon gant, gant que je crois que je ne pourrais pas utiliser à présent, et aussi, je ne pourrai pas mettre de l'électricité dans mon épée pour bien balayer et cramer ce qui était devant moi. Dommage, mais ce sera suffisant.

D'un geste précis de la main, je soulevais cette arme gigantesque pour l'abattre sans plus de cérémonie sur la fille à la balle, tout en m'approchant d'elle. Sa balle ? Roula par terre en se dématérialisant, suivis de son bras et d'un jet de sang, quelle couleur ? Je levais un sourcil, neutre, froide et en colère que je pouvais être, je déclarais d'un ton hivernal :

-La douleur, elle est la même que celle endurée à l'extérieur. Même si tu ressors d'ici sans blessures.

Je mis mon épée d'où perlaient quelques gouttes et tâches de sang, derrière mon dos, sur mes épaules précisément. Oui, les blessures que tu engendrais dans l'Arène disparaissaient en dehors de cette dernière à condition que tu ne sois pas trop troué de partout, sinon, c'est l'infirmerie qui t’accueillera. Mais par contre, la douleur qui vient après une blessure et tout aussi grande que celle de la vie réelle, et parfois, se voir troué de partout, perdre des jambes et des bras, pouvait provoquer des séquelles psychologiques à la victime. Oui, je le sais. Je pointais mon épée sur la fille, juste en dessous de son menton, je pouvais constater que mise en verticale, ma lame était si longue qu'elle pourrait presque faire deux fois la tête de Miharu. Si je la lui enfonce dans le corps, et que je tourne ensuite, cela fera mal ? À quel point ? Je la découperai en deux ? Qui sait. Ou alors ? Je lui tranche la tête avant que son bras ne se re-matérialise ? Et encore, elle doit apprendre à le faire. J'avais de ces idées meurtrières en tête. Une jambe peut être ? Hahaha... En fin de compte, c'est tout autant amusant.
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeSam 26 Mai - 14:27

Regardant que d’un seul œil l’exploit de Miharu, je fronçais les sourcils en sentant quelque chose de posé sur mon front pour finalement m’obliger à lever la tête dans le mouvement. Regardant d’un air lasse la jeune fille qui s’excitait devant moi, je soupirais lourdement en essayant de plus me concentrer sur la nouvelle seconde qui venait de faire ses premiers pas dans l’arène. Elle était douée, oui, le genre de personnes que je savais déjà, n’allait pas avoir de trop grands soucis avec la matérialisation, à croire que finalement, ce serait du gâchis si elle mourrait maintenant, mais le combat était lancé et c’est en évitant une éclaboussure de sang que je le compris.

Ma jeune protégée qui ne faisait pas de cadeaux, venait de trancher le bras de son adversaire. D’un regard sadique, je pouvais deviner avec aisance qu’elle avait dans la tête, oui, elle en voulait plus, plus de sang, plus de souffrance et plus de meurtre. Était-ce de ma faute si la petite Miharu recevait la colère de Kaïla ? Sans doute, mais je me devais d’être fair-play avec les autres, dans le sens que je ne pouvais montrer mon favoritisme envers Kurayami si ouvertement, à l’encontre des autres élèves à qui je ne donnais guère mon savoir. Mais je n’étais pas douée pour ça non plus, à la place de les traiter équitablement, je donnais du fil à retordre à Kurayami, une manière pour moi de montrer que je ne faisais pas d’elle une star du podium, bien que ce soit le cas. Soupirant de lassitude en me couchant sur mon trône, la tête sur un accoudoir et les jambes sur l’autre, je regardais le ciel, admirant par la même occasion la lune s’étant peignée d’une couleur sang. Un combat hein …

Levant les mains vers le ciel, je matérialisais dans celle-ci une sorte de balle que je m’amusais à faire rebondir entre mes paumes. La grossissant de plus en plus jusqu’à ce qu’elle me cache la vue de la lune, je finis par la lancer  dans les airs en usant de mon poing pour la propulser. La voyant disparaître dans l’étendue blanche, j’attendis une bonne minute avant de la revoir apparaître, s’apprêtant à venir s’écraser sur le sol dans les secondes à venir. Mais d’un mouvement de la main, j’arrêtais sa progression, serrant le poing, je la fis éclater alors que son contenu, s’avérant être de l’eau venait de tomber sur l’arène. Protégée par un bouclier d’air formé en trois secondes, je portais mon attention sur les jeunes filles se trouvant non loin de mon trône, trempées mortes avant de déclarer d’une voix froide :

- Gomen …

Affichant un petit sourire malicieux, je me redressais avant de lever mes mains vers les jeunes filles et d’un mouvement sec du pied, tapant sur mon trône se répercutant sur le sol de l’arène, je fis monter les deux jeunes filles d’un cran, se retrouvant à présent sur une sorte de scène ronde d’environs deux mètres de diamètres, je gelais le sol de celle-ci ainsi que le reste de l’arène. L’air devenait de plus en plus frais, le sol glissant et je pouvais entendre les plaintes des élèves dans les gradins, ne comprenant pas forcément la raison de cela. Toujours sourire aux lèvres, une idée derrière la tête, je voulais que le combat soit plus divertissant, qu’à présent, ce soit encore plus équitable en disant :

- La première qui tombe de l’arène improvisée, perd le combat.

C’était simple, si elles glissaient de trop elles se feraient éjecter de l’arène, mais ce qui était encore plus dangereux était le froid constant, si elles ne bougeaient pas assez, leurs corps allaient s’endormir et l’une d’entre elle deviendrait la victime de l’autre. Surtout que j’eus l’intelligence de les mouiller, allez, allez, divertissez moi.
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:03

Mal j'ai mal horriblement mal, il me maque quelque choses. Je ne sais pas ce qui me manque. Du sang beaucoup de sang. Je suis trempé encore du sang. Mon bras voila ce qui me manque mon bras. Elle me la couper. Elle n'en avait pas le droit, c'est inégale je
ne savais pas quand le combat commencerais.

-La douleur, elle est la même que celle endurée à l'extérieur. Même si tu ressors d'ici sans blessures.

Au moins cela me rassure.
Mais je ne vais pas te laissé partir sans avoir essayer quoi que ce soit. Elle pointa son épée trop grande sous mon menton. On se défit du regard.
Enfin pas elle puisque, c'est yeux ressemble plus à des ceux d'un monstre sans cervelle assoiffé de sang.
Si je ne trouvait pas une parade maintenant je risquais de devoir sortir de l’arène sans avoir put faire quoi que ce soit.
Puis avant que quoi que ce soit ce passe je me retrouva trempé (grâce a Yume que c'est gentille). Le sol se leva. Cela me donnais une chance de pouvoir faire quelque chose.
On pouvait matérialisé ce que l'on imaginais si j'avais bien comprit.
J'imaginais mon bras perdu ressouder à mon corps. Je l’imaginais jusqu’à que je ne sente plus le vide. Un vents froid ce souleva. Sous mes pied de la glace. Ce n'ai pas moi, je jure ce n'ai pas moi.

- La première qui tombe de l’arène improvisée, perd le combat.

La première qui tombe? ce n'ai pas un problème. Je cassa la glace pour tenir ma position avec mes talons puis je sauta au dessus de Kaïla, me plaçât derrière elle et je la mordit juste au bas du coup. Lui tenant la tête le plus éloignée de son épaule.
Soudain, j’entendis craquer. Je levais la bouche de son cou: il y avait un énorme trou d'où beaucoup de sang j’échappais. Profitant du mal que je lui est causée je lui fit un croche pied. Peur-être un cou bas mais...Tous est permis dans l'Arène, Non?
Je m'éloignais un peu sans vérifié si elle avait toucher le sol où pas. Moi même je ne devais pas glisser dans la marre de nos deux sang qui c'était formé... Je me tenais prête sortant de l'une de mes manches une chaine plus petite que mon poing. Kaïla je t’attend...
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeDim 27 Mai - 12:31

Le combat, si on pouvait appeler cela ainsi, avait commencé depuis un moment. Et qu'est-ce qui se passait dans l'Arène ? Que pouvaient voir les spectateurs sur le lieu du massacre ? Deux filles qui se regardaient dans le blanc des yeux, une avec un sourire sadique n’attendant qu'à tuer l'autre. Tandis que l'autre... Je ne sais pas, mais Miharu n'avait pas l'impression d'avoir trop peur, dans le genre elle a perdu un bras mais elle reste debout. Intéressant, vraiment trop hilarant. Et c'est quand je voulus en finir une bonne fois pour toutes qu'une certaine flemmarde qui n'avait rien à faire du combat, se décida d'intervenir, sans faire exprès certainement, en nous aspergeant d'une pluie d'eau. Trempée morte que tu peux être après une averse, ce n'était pas vraiment la joie si tu avais une robe de combat en métal en quelque sorte. Je la fusillais du regard, incrédule de voir un tel comportement de sa part, non mais elle s'ennuyait ou quoi ?

Mais mon regard se porta sur le sol instable qui venait de se soulever, élevant mon adversaire et moi-même à une hauteur relativement grande, avec une Yume en bas qui... Mais que faisait-elle ?! Je sentais un froid monstre m'envahir, ainsi que le sol geler, je ne bougeais pas de peur de tomber.

- La première qui tombe de l’arène improvisée, perd le combat.

Et là, je me dis qu'elle voulait me rendre la vie difficile, je voulais m'amuser moi et non jouer aux trapézistes. En tout cas, elle venait de me pourrir l'humeur complètement. Je me retrouvais sur une plaque de glace assez étroite, avec une Miharu qui reconstruit son bras, mais d'une façon assez médiocre. Combien on parie que si je tire un bon coup dessus, il tombe en pièce ? Mais je devais dire qu'elle était vraiment douée pour savoir le faire du premier coup, un bon adversaire dans le futur. J'envisageais déjà de la combattre un jour quand elle serait en Terminale, mais dans un vrai combat, et pas ce cirque ridicule qui me faisait face pour le moment. Bien, il ne me restait qu'à la faire tomber, même si mes projets étaient un peu plus sanglants.

Mais je n'eus le temps de bouger que la Seconde se jeta sur moi, me mordant le cou jusqu'au sang. Je pouvais sentir la douleur déferler dans mon corps à une vitesse folle, surtout à l'endroit attaqué, pour ensuite échapper un petit cri de douleur quand mon cou craqua sous la pression de sa main. Non... Elle venait de me briser quasiment la nuque ? Pourquoi, j'ai une sale impression que si je n'étais pas dans l'Arène, et que si une folle furieuse m'aurait sauté dessus, je passerais un bon moment à l'infirmerie rien que pour remettre cette fracture en place. Putain que cela faisait mal. Et en mois de trois secondes, je me vis plonger au sol, glissant à son extrémité, me rattrapant de justesse en plantant mon épée dans le sol gelé. Voilà un magnifique support. Je me relevais, fureur dans les yeux et sur le visage, non mais sérieux quoi. Me tenant au manche de mon épée, je pris l'autre main pour, dans un craquement sourd, remettre mon cou en place. Je voyais mon sang déferler tel un volcan en éruption du trou formé. Je n'allais pas gaspiller mon énergie pour reformer cela pour le moment, j'avais une personne à découper devant moi.

Je la voyais en position d'attaque, et la seule chose que je fis, c'était de rire, éclater de rire, yeux fous tandis que je sentais un goût désagréable et métallisé dans ma bouche. Bon sang, j'allais l'étriper avec tout le plaisir d'un tueur qui aimait commettre des meurtres.

-Fini ~

Je chantonnais presque ce mot entre deux éclats d'un rire monstrueux, moi folle ? Non, juste avec une envie monstre de sang. Elle ne savait pas à qui elle avait à faire, ce n'est pas midi à quatorze heures qu'une Première allait se faire battre par une Seconde dans ces conditions. Mais je devais avouer qu'elle était assez douée pour le toucher, bon évidement si Yume ne m'aurait pas absorbé de l'énergie, la Seconde n'aurait même pas eu le temps de m'approcher que je l'aurais électrocuté sans pitié finissant le combat avec une brochette à la clé... Attendez... Mais oui !

Mon expression prit des traits de sadisme, tandis que j'enlevais mon épée du sol de l'Arène, pour aller à l'encontre de la fille. Je lançais ma lame sur le corps de Miharu sans vraiment vouloir la toucher, elle n'était la que pour faire diversion tandis que je me laissais tomber au sol pour glisser tel un pingouin sur une banquise, attrapant dans la volée le bras re-matérialisé de mon adversaire que j'arrachais d'un geste sec. Replantent mon épée dans le sol pour qu'elle me relève d'un geste sec, je fis glisser ma main sur la manche pour tourner et envoyer mes deux pieds joints dans le dos de Miharu. Tu ne tombes toujours pas ma petite ? D'accord, il était temps d'en finir. Avant même que je ne retombe sur le sol, je pris appuis sur mon épée pour me retrouver accroupie sur la manche de cette dernière avec un énorme sourire sur les lèvres. Voilà où je voulais en venir, j'envoyais une décharge électrique dans ma lame qui se propagea tel un éclair sur toute la plate-forme glacière, oui, la glace c'est de l'eau, de l'eau c'est un super conducteur. Je pouvais voir toute l'électricité se propager sur le corps de Miharu, quand je parlais de brochette c'était pas pour rien. Arrêtant le flux de l'énergie, je sautais sur le sol glissant et envoyais un coup de coude dans les cotes de mon adversaire, les lui brisant par la même occasion avant que ma main gantée ne vienne pousser cette dernière en dehors de l'Arène. Je pouvais voir son corps tomber, et pour qu'elle ne s'attache pas au dernier moment à un rebord reprenant conscience après s'être fait électrocuter, j'envoyais mon épée à la suite de son corps. Arrivée au rebord, je plongeais mes doigts en fer dans le sol pour ne pas aller plus loin. Accroupie, je regardais un moment le spectacle sous mes pieds. Oui, j'avais le meilleur entraîneur pour le physique autant que pour la matérialisation, mais je devais avouer que cela m'a fatigué.

Je dématérialisais mon épée sous le regard des spectateurs. Vraiment, il faisait trop froid ici... Je sautais en bas, atterrissant non loin d'une Yume toujours dans sa position de départ, en mode glandage suprême. Je la gratifiais d'un regard glacial, avant de dire un seul mot, sans moindre sourire, ni changement de ton.

-Douée.

Oui, la fille, Miharu, qui m'a combattu n’était pas une nullarde que je trouvais tous les jours ici. En plus elle m'a blessé. Bon bah, je n'ai plus assez d'énergie pour reconstituer cela, et en plus cela faisait un mal de chien, autant que je sorte de cette Arène avant de me vider complètement de mon sang quoi. Je me grattais l'arrière du crâne tandis que la lune reprenait sa couleur blanchâtre indiquant la fin d'un combat... Un combat hein... Oui, c'était carrément un combat divertissant.

-Par contre, ne me refais plus jamais ce coup là, Yume-San.

Je soupirais lourdement, reprenant peu à peu la température ambiante de l'endroit. Oui, j'étais gelée. J'avais qu'une seule envie, c'est d'aller dans ma chambre, prendre un bain et dormir. Je n'étais pas déçue de cette journée, en fin de compte.
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MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeDim 27 Mai - 19:57

Je ne voyais pas la tournure du combat qui se passait deux mètres si pas trois au dessus de ma tête, regardant mes mains avec insistance, je me demandais comment j’arrivais à les bouger. Oui, le cerveau donnait l’ordre de plier les doigts, mais qui donnait l’ordre au cerveau ? Vous, me dites-vous, mais vous, vous êtes le cerveau non ? Oui, mais alors, il y aurait quelqu’un d’assez con à l’intérieur de nous pour nous dicter ce que nous devions faire ? Cela voulait-il dire que je n’étais pas seule dans ma tête ? Et personne n’est un ? Oui, si vous êtes deux, vous ne pouvez pas être un. Logique de malade non ? Soit, continuant à plier mes doigts sans prendre garde aux cris des deux élèves s’entre-tuant, je me décidais d’aller me chercher quelque chose à manger. Me levant du trône d’un mouvement rapide, je ne laissais pas mon corps toucher le sol que je me matérialisais à la cafétéria de Undai. La déformation du temps, jouer sur la déformation de l’espace en sautant d’un lieu à un autre était un secret que seul moi et deux autres personnes savaient maîtriser et encore, l’une d’elles n’était qu’une apprentie sous ma charge. Arrivant donc à la cantine, je saluais la serveuse d’un simple mouvement de la main avant que celle-ci, sourire aux lèvres me dise :

- Yume-Chan a encore faim ? Cela fait la troisième fois que je vous vois ici, je vous ressers la même chose que ce matin ?

D’un mouvement de la tête, signifiant que j’acceptais ses dires, j’attendis que ma commande arrive. Trois pains, dont un curry, l’autre au poulet mayo pour finir par un jambon crudité, tout ça dans une bonne baguette croustillante sans oublier ma bouteille d’eau avec une autre de soda et d’autres petites crasses composées de biscuits, chips, chocolats et ainsi de suite. Une fois tout dans un sac, je tendis ma carte pour payer et m’en alla sans plus attendre. « Payer » c’était bien un truc que je trouvais bizarre, j’usais de l’argent de l’école pour ma nourriture et mes autres achats, l’argent de la directrice plus précisément en fait, mais bon, tout ça pour dire, que je me demandais toujours et depuis le début, où Ayame sortait autant de fric ? Parce que vous avez vu la taille de cette école ?! Et tout ce qu’on pouvait péter se faisait réparer le jour même. Donc bon, si elle était genre la reine d’un état c’était compréhensible ou même si le gouvernement était à sa botte, logique qu’elle ait autant de frics … mais je n’avais pas le souvenir d’avoir vu ne serait-ce qu’une seule fois un diplomate dans ces lieux. Me matérialisant à l’arène avec mon sac de nourriture, je repris ma place sur le trône avant de me mettre à manger. Commençant par le pain au curry, je n’eus le temps que d’en prendre trois bouchées que j’entendis un bruit sourd de l’autre côté de l’arène pour finalement voir un corps jonchant le sol dans un piteux état. Par la suite, ce fut Kaïla qui sauta de mon arène pour venir à ma rencontre.

-Douée.

Douée ? Moi ? Oui je sais. Ne comprenant pas vraiment ce qu’elle voulait dire par là, je fis descendre l’arène d’un mouvement de pieds. Me levant de mon trône -toujours le sac en main- je me dirigeais vers la fille aux yeux verts, mais je m’arrêtais dans ma démarche quand les paroles d’une Kurayami peu contente se heurtèrent dans mes oreilles.

-Par contre, ne me refais plus jamais ce coup là, Yume-San.

Oui, j’avais bien compris que si je lui refaisais quelque chose du genre, elle serait la première à me sauter à la gorge et essayer d’abattre mon sourire amusé avec une pierre qu’elle aurait ramassé sur le sol. Lui adressant un petit sourire tout en faisant un geste pour qu’elle m’attende, je me dirigeais d’un pas rapide vers Miharu. Regardant la fille dont un bras était manquant, je me demandais si elle était toujours en vie. Matérialisant mon cellulaire dans ma main, je composais le numéro de l’infirmerie, demandant à ce qu’une équipe vienne à son secours. Non pas que j’en avais quelque chose à foutre du fait qu’elle meurt ici ou non, mais comme l’avait dit Kaïla, elle avait du potentiel, beaucoup même. Tournant les talons en essayant d’éviter la flaque de sang s’étant étalée sur le sol, je  me dirigeais vers mon élève en lui tendant mon sac de bouffe :

- J’ai été faire les courses, on retourne dans la chambre ou tu veux aller ailleurs ?

Ne prenant même plus la peine de porter attention aux gens clamant la bataille des deux élèves, applaudissant Kaïla en hurlant « SIVLER SWORD » en cœur comme des fanatiques, je me dirigeais à mon tour d’un pas lent vers la sortie de l’arène. Finalement, aujourd’hui était plutôt amusant, non ?

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Miharu Yamamura

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Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Empty
MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitimeDim 27 Mai - 23:38

Pour tout dire je ne comprit pas vraiment ce qui ce passa en suite. Je savais que je n'allais pas gagnée ce combats. Mais j'aurais quand même voulu me souvenir parfaitement de mon premier combat.
Mais Kaïla ne m'en laissa pas le temps. Je la vit juste ce lancer vers moi, puis j’eus encore mal, la sensation de vide reviens à la charge je ne savais. Plus quoi faire. J'ai volé puis revue le sol et cela pendant une bonne minute. Enfin elle s’arrêta. J'étais au sol ne pouvant absolument rien faire. Je n'avais plus mal tellement je ne sentait plus aucun de mes muscles.
Je vit Yume s'approcher de moi et utilisé son cellulaire. Peut-être que on vas enfin m'envoyer à l'infirmerie.
Au moins cette journée n'ai pas perdu, j'aurais fait mon premier jour dans l'Arène.



End ^^
ravie d'avoir fait ce rp avec vous ^^ au plaisir d'en refaire un
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Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Empty
MessageSujet: Re: Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.   Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe. Icon_minitime

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Parce que même si c'est mon élève, elle reste une catastrophe.

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