Un Ennemis ?

L'arene... Une etendue monochrome. ou une lune est percher dans le ciel. Un lieu ou des centaines de jeune ont cherché a s'entretuer, Tel des pions sur le sol de pierre. De lourd mystère entourent ce lieu sans fin que personne n'a encore reussis a dissiper...

Vendredi 15h

Enfin... la journee est fini. Tu a passé tout ton temps en salle de cour... même la pause cantine et les recreation n'ont pas pus te deguourdir les jambes... Tu as eu toute la journée des fourmis dans toute tes membres... et tu a maintenant du mal a bouger. Décidant de résoudre ce probleme. tu sort faire un tour. Tu as bien sur, avant de sortie, pose ton sac de cour dans ta chambre en saluant au passage Rhees ton camarade de chambre qui faisait ses devoirs... Une fois dehors, tu te promène un moment dans le parc de Undai en regardant les autre eleves se prelasser au soleil et les quelques animaux dans les arbres. Tu remarque d'ailleur, que quelques ecureuil sont en train de grignoter des noisettes. Que des oiseaux chantent sur les branches et non lion d'eux, des chats se lèchent lebabine. Mais le temps commence à ce faire frisquer et les nuages commencent a s'amonceller dans le ciel, rique d'orage, tu décide donc de te refugier dans l'arene.

A L'abris de la future pluie. tu te retrouve dans ta robe de combat. Et bien qu'ayant eu cour de materialisation avant, tu decide de t’entraîner. Tu commence par faire les meme exercices que la directrice vous avez fait faire a Rhees et a toi. Tu Materialise une balle de ping pong et tente de la materialise en ballon de football. Respirant un bon coup, tu te met a la tache. Couleur, Texture, poids et forme. Tout doit etre parfait. ET C'est dix minute plus tard que tu a réussis à transforme la balle en balon de foot. Heureux de tes progres. Tu avait mis 1 quart d'heure la derniere fois. Heureux de ta réussite, tu continue a t'entraîner. Tu materialise des jouet et des arbustre. Et tous marche pour le mieux. Finalement tu decide de T'attaquer a ton arme. Inspirant. tu t'imagina une epee. Noir comme la nuit. et faites a partir d'ombre. Tu te concentre tellement que de la sueur commence à couler de ton front, Et tes sourcil sont froncer dans l'effort... Lorsqu'enfin tu ouvre les yeux, Tu a dans tes mains. ton épée. Mais pas plus grande Qu'un Mikado.... Soupirant, tu t"atendais a mieux, Tu Decide de la faire augmenter de volume. Ce qui se passe le moment ou tu la pensee. Finalement, tu te leve et commmence a combattre a ennemis imaginaire. Mais au bout de quelques seconde, ton épée est devenue quelque chose de visceux dont de grosse goutte noir et immonde semble couler. Ton épée a perdu toute forme sous tes yeux... Que c'était-il passer ?

De gros nuages noirs s'amoncelaient non loin des bâtiments proche de la forêt de Undai. Un vent frais vint m'ébouriffer les cheveux. Un gros orage se préparait, et j'étais encore loin d'être arrivé à ma chambre, et j'avais le pressentiment que même si je me mettais à courir, je me prendrais la pluie, par la plus grande malchance qui pesait sur moi en ce moment : Notre escapade au Temple avec Naoko, ma dispute violente avec Bonnie .. Mais bon, je tentais de ne plus penser à tout ces événements qui était pour moi du passé, de l'histoire ancienne. Relevant la tête vers la ciel qui s'assombrissait de plus en plus, je trouvais la solution idéale pour éviter la pluie. L'arène. Me concentrant, je fermais les yeux, vidait mon esprit.

Lorsque je les rouvris, je me trouvais dans l'Arène, en robe de combat. Respirant le bon air qui se dégageait de l'endroit, je commençais à me concentrer pour tenter de matérialiser des choses simples. Je débutais par un chapeau. Simple, pas très original, mais pas mal pour un début. Très banal, sans aucune parure ni couleur. Maintenant, je réfléchis aux conseils que m'avait donné Dead Master à mon arrivée ici. Améliorer. Je me concentrais de nouveau, visualisais la forme, la couleur, l'originalité. Après plus de dix minutes de concentration sans faille, je me retrouvais avec un chapeau rouge doté d'une plume blanche.

Plutôt fière de moi, je le pris dans mes mains et entreprenais un examen précis de ma matérialisation, au point de me pas entendre ni voir la personne qui venait d'arriver dans l'Arène à son tour. Etant silencieux, je ne le voyais toujours pas et me concentrais de nouveau pour reformer mon chapeau. Mais lorsque je les rouvrais, mon chapeau n'était pas modifié, et le jeune homme qui se tenait non loin de moi affichait une expression des plus étrange, tenant entre ses doigts un liquide visqueux. Mais que tentait il de métamorphoser ?M'approchant de lui, je lui demandais de ma voix suave :

- Bonjour. Qu'est ce que tu tentes de matérialiser ?

-Bonjour. Qu'est ce que tu tente de matérialiser ?
dit une voix derrière moi. Je sursaut, quittant le sol de quelques centimetre et fit omber mon ...épée, avant de me retourner et de crier
-Tu m'as fait peur !! à la personne qui m'avait parler

Mon coeur battait la chamade, et je du poser ma main dessus pour tenter de le calmer.

- Une épée, mais ce n'est pas une réussite... Tu sais matérialiser ton arme toi ?
lui dis, je sur un ton de défit

Cette fille, commençait à me courrir sur le haricot... sans raison certe, mais premièrement, c'était une fille, et secondement elle m'avait fait peur, tout pour que je ne l'aime pas... Soupirant, je recommençais a me concentrer pour reformer mon épée... La forme visqueuse par terre commença à rétrécir, et prit de nouveau la forme de mon épée. Me recommença à l'agrandir et une fois à la bonne taille, la secoua plusieurs fois en gardant en tête l'image de mon épée, mais le même schéma recommença, je me retrouvait avec un truc visqueux de nouveau dans les mains

-Alors, tu vois, A ton avis, c'est quoi le problème ?
lui demandai-je...

HRP : désolé, c'est cour... Mais je voudrait transformé l'idée d'ennemis, en simple rivaux, ca te vas ?

- Tu m'as fait peur !! Une épée, mais ce n'est pas une réussite .. Tu sais matérialiser ton arme toi ?

J'émit un petit rire amusé lorsque le jeune auquel j'avais parlé fit volte face en sursautant. Moi ? Non, ca fait tellement peu de temps que je suis là, j'ai à peine du m'entraîner trois fois dans l'Arène pour n'y matérialiser que ma robe de combat, quelques boules et le chapeau que je tenais toujours en main. Mais, sans vouloir être méchante envers lui, il n'avait pas l'air de bien s'en sortir de son côté. Je lui dit le plus gentiment possible :

- Moi non. Je sais matérialiser des choses simples comme le chapeau là. Je le lui tendais. Je suis nouvelle, je suis pas très experte en matérialisation, même si ton épée ne marche pas très bien non plus ..

En le regardant, il avait gentil et sympathique, mais une lueur de mépris et d'impatiente luisait dans ses prunelles. En y songeant, peut être ne m'appréciait il pas ? Bof, au pire, il avait l'air d'avoir un sacré tempérament, donc au pire, un ami de moins ou de plus, qu'est ce que ca change hein ? Lorsque je reportais mon attention sur lui, il recommença sa tentative, arrivant en tout et pour tout au même résultat.

- Alors, tu vois, a ton avis, c'est quoi le problème ?

Pourquoi me demandait il ca ? Il savait pertinemment que j'étais bien plus nouvelle que lui donc beaucoup moins forte que lui (quoi que), mais ce devait sûrement être par politesse, et pour cacher son masque de dégout qui s'inscrivait sur son visage en prononçant ses mots. Haussant les épaules, incapable de répondre, je lui dis seulement d'une voix sobre et claire :

- Là, je suis vraiment désolée, mais je ne peux pas t'aider. Peut être que tu n'es pas assez concentré ou que tu ne te visualise pas assez bien ton épée dans ta tête ?

Le regardant dans les yeux, je ne savais pas quel position prendre. Agressive ou plutôt gentille ? Fallait il que je lui montre que moi aussi il m'exaspérerait ou que je fasse semblant et que je lui fasse totalement croire qu'il e m'importunais pas en plein entraînement. Optant pour la deuxième solution, je décidais de tenter à mon tour l'expérience.

- Attends, je vais essayer, tu me diras ce que ca donne.

Fermant les yeux, prenant une position stable et confortable, je me concentrais sur la visualisation de l'arme. L'ayant bien en tête, je procédais à la matérialisation, qui me pris plus de dix minutes. Lorsque je les rouvris, mon épée n'était pas plus grosse que ma main. Soupirant, je me reconcentrais quelques minutes. Ouvrant une seconde fois les paupières, je la découvris d'une taille normale.

- Ba tu vois, c'est pas si dur. Je sais pas ce qui chez toi hein.

Oups. C'est sorti tout seul. Ce n'était pas forcément les paroles qui aurait pu le blesser ou le mettre en colère, mais le ton sur lequel je l'avais prononcé. Railleur, pleine d'humiliation envers lui qu'une plus jeune fille y arrive. Me mordant la lèvre inférieur à m'en faire mal, j'attendais de voir sa réaction, le coeur battant la chamade.